Au fil des générations, les exigences du capital quant au niveau de qualification et plus spécifiquement au niveau d’études impactent la capacité des nouvelles générations à valider des trimestres avant 30 ans. Aussi, si l’augmentation du niveau d’études général est une bonne chose en soi, la nécessité d’un niveau d’étude plus élevé, sans contrepartie en termes de cotisation pour les travailleurs, est une double peine : ils peuvent gagner leur vie plus tard et doivent partir à la retraite plus tard d’autant qu’il sera de plus en plus dur de partir avec une retraite à tôt plein.
Points de repères.